PVs : 60/100
Don : looser ▬ Permet de saper le moral des gens pour qu'ils se sentent totalement inutiles, aient des envies suicidaires etc., le tout variant en fonction du caractère..
Niveau : 1
Arme utilisée : poings intelligence.

pffffff. il n'en pouvait plus. il se faisait chier à se tirer une balle quelque part. cette ile commençait vraiment à lui taper sur le système. pourquoi était-il monter dans cette stupide barque ? ah oui, pour combler sa curiosité...enfin, au moins, elle était combler. il se serait sans préférer se jeter du quai s'il avait su où tout ça l'aurait emmener. mais c'était trop tard bien évidemment. et tu te retrouvais là, comme un con, sur cette ile, complètement perdu, ayant paumé la seule personne qu'il connaissait eeet...ayant gagner en prime un pouvoir. il aurait nettement préférer...chais pas moi...un voyage au club med à Ibiza ou un truc du genre. mais non. mais non. c'était plutôt chiant. ayant paumé la brave petite ruby, qui était aussi incapable de se débrouiller qu'un humain sans sa tête, il décida de ratisser les lieux pour la chercher. mais en vain. ça devait être à cause de la taille de la gamine. c'était pourtant pas difficile de retrouver une mioche déguisée en pingouin. A force de marcher, il tombât sur un étrange bateau. "Le Flying Boat III". en clair un bateau pouvant voler. Il se demandait bien ce qu'il pouvait bien lui arriver. on le jetterait peut-être en vol en lui demandant de "VOLER"...ca y est il devenait parano. et surtout pour ne rien arranger il avait cet immonde grésillement dans ses oreilles pareil à une radio des années 50 qui refuse de marcher. et cette piqure...ptain ça faisait encore mal. quelle poisse.
[quelques heures]
de toute les étrangetés que jarvan avait pu voir, celle-ci était la plus bizarre. un château qui vole. comment vous dire...c'est spécial en tout cas. bon sang, qu'allait-il voir ensuite, un pokémon qui parle ? cet endroit était calme. ou plutôt, il devait être calme. jarvan était juste incapable de savoir si quelqu'un discutait. merci les oreilles qui grésillent à mort. et puis là. une vieille dame le regarda. un regard qu'il n'aurait pas du croiser le malheureux.  elle lui fonca dessus et s'affala à ses yeux.

« Pitié, mon bon Monsieur. Mon chat s'est enfuit et je suis bien trop vieille pour le poursuivre ! Si vous m'aidez, je vous donnerai une récompense, je vous le promets. Et... Je crois qu'il est parti... Dans cette direction. »

un chat. un chat. aar et pourquoi elle pleurait celle-là. c'était qu'un chat. il descendra quand il voudra. un chat peut bien descendre d'un immeuble de 3 étages. mais bon, c'est qu'elle faisait vraiment de la peine la vieille...

« bon d'accord... »

on sentait l'envie, la conviction d'aider oui ! à présent, c'était clair et net... il devait devenir le sauveur de ce p*tain de félin de m*rde. *saloperie je vais te mettre en soupe* pensa t-il avec gentillesse. pourquoi les chats n'avaient-ils pas des ailes ici ? il alla dans le jardin du château et chercha un peu partout. et il le vit ce con, tout en haut de l'arbre ce putain de chat. dans un chêne en plus. bordel c'était haut en plus. s'il tombait...haha s'il tombait bah il allait aux urgences (du moins si elles existaient dans ce bled). et bien sur, il n'avait rien sur lui de spécialement appétissant pour attirer ce sac à puce. et il monta monta pas trop haut ceci dit car trop dangereux. la bestiole semblait bien énervée. elle lui gueula un "KSHHHHHHHH". ha, si seulement il avait une bonne dose de morphine. il resta assis sur la branche où il était et réfléchit. Au moment il voudrait le prendre, il lui laminerait le visage, sans pitié. peut-être devait t-il utiliser son pouvoir...il avait encore du mal, mais fit de son mieux pour l'utiliser.

aaaar.  cette putain de sale bête l'avait attaqué. ça n'allait pas se passer comme ça, il allait lui mettre une grosse déculottée et en faire du pâté pour baleine. il essuya le sang qui coulait et se mit debout sur la branche. jarvan n'avait rien contre les animaux mais là...il était prêt à tout pour le coller dans les bras de la vieille qui regardait d'un air inquiet l'affrontement. il savait bien qu'il n'aurait pas du accepter mais sa gentillesse était vraiment un sale défaut.

« sale bestiole tu vas crever oui ! »

et il lui balança sa chaussure en plein dans la figure avec la dextérité d'un professionnel qui balance des pots de fleurs tout les jours sur les passants. ceci devait distraire le chat une microseconde. il utilisa une seconde fois son don, monta sur la branche où était le chat, lui écrasa la queue par inadvertance (non) et lui donna un coup de pied sec dans son derrière. ca lui apprendra. tant pis pour la vieille en bas. lui d'abord !