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 SkullHead - Jezus B. Peszek - finish

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Jezus B. Peszek

Jezus B. Peszek

MessageSujet: SkullHead - Jezus B. Peszek - finish   SkullHead - Jezus B. Peszek - finish Icon_minitimeMer 13 Nov - 13:27



Fils de Dieu.
Jezus Błażej Peszek.
29 ans.
D'origine serbe, texan de naissance.
19 janvier.
groupe. (attendre le passage d'un modérateur pour remplir ceci.)
Toxicité : Son corps émet en permanence des neurotoxines plus ou moins dangereuses à long terme.

Physique

TAILLE : 1 mètre 95.
POIDS : 90 kilos.
TEINT : Cadavérique.
CHEVELURE : Calvitie.
YEUX : Orbites.
AUTRES DÉTAILS DU VISAGE : Toutes mes dents.
SIGNES DISTINCTIFS : Tête de squelette, parce qu'en plus d'être restreint côté "salut, si je m'approche trop de toi je peux te faire vomir" ou côté "salut, tu peux tomber dans les vapes si je te touche", ben j'ai une tête de mort. Pas dans le genre "fatigué avec des cernes de six pieds sous les yeux". Dans le genre "tête de mort". Super sex appeal.
AUTRE : Nada.

Caractère
QUALITÉS : Les qualités, c'est tellement chiant à trouver. Non, sérieux. C'est pas comme si ça m'arrivait, genre comme ça sur un coup de blues, de m'asseoir tout seul sur mon lit -comme un con- pour faire le point sur ma vie, sur mes bons côtés, sur mes mauvais côtés, sur la position précise de mon existence dans le monde. Je sais que y'en a qui le font. Des gens comme ça je veux dire, qui sont souvent trop déprimés pour faire autre chose que de penser et penser et penser. Je sais pas trop, moi. J'ai arrêté de faire ça, en vieillissant peut-être, ou juste par propre instinct de survie. Et puis, finalement, sortir nos qualités, ça sert juste sur un C.V. Et puis, soyons francs, les trois quart c'est juste des conneries pour se faire voir comme un parfait petit soldat bien entraîné et prêt à bosser cinquante heures semaine dans une boîte en plein essor. T'as qu'à mettre les stupidités habituelles : franc, poli, déterminé, assidu, perfectionniste, et on est en business, sir.

DÉFAUTS : Pour les défauts, c'est un peu pareil. Généralement, tu te trouves des défauts encore plus débiles qui font lèche-botte. Du genre « je suis TROP perfectionniste », ce qui rappel une de tes qualités et qui rassure quant au fait que finalement, si t'es TROP perfectionniste, ben c'est pas la mort. Faut juste éviter de dire que t'es un alcoolique ou un gars de soirées, que t'aimes bien ramener un coup d'un soir chez toi et qu'il t'arrive de te réveiller chez quelqu'un que tu connais pas, sur un canapé, dans les bras d'une meuf que tu connais pas. Parce que, même dans les défauts, faut rester un petit soldat impeccable. Personne engagerait de trou de cul comme moi s'ils savaient, ahah.

AIME/DÉTESTE : Y paraît que les goûts et les couleurs ça se discutent pas. Moi, franchement, je trouve que les gens se servent de cette excuse là juste pour pas qu'on les harcèle sur les limites qu'elles s'imposent à elles-même. « Les goûts et les couleurs ça se discute pas », tsé. Souvent c'est suivit d'une mimique de frais chier, et d'un « bah si moi j'aime pas la drogue, ça ne regarde que moi ». Y'a pas grand chose que de déteste sur terre, et je le dis franchement. Sauf peut-être les avocats. Le fruit, et le mec en costume qui te pique ton gosse et l'envoie vivre avec sa salope de mère. Mais ça, ces gens qui se permettent de te juger parce que tu choisies de vivre ta vie comme tu l'entends, et qu'après ils viennent te faire des remarque du genre « ouais, bah je fais ce que je veux ». Ça me tue. Vraiment. Le mec, tu vois, avec le sourcils levé, tu le ramène chez toi à la sortie des bars. Tu continues à boire avec. Tu couches avec. Et le lendemain matin, il te regarde comme un scandalisé parce que tu te trace une ligne de speed. Désolé, mon mignon, je te croyais pas aussi prude. Ça fait pas de moi une mauvaise personne, tu vois. Ça m'aide juste à passer au travers de ma journée de boulot, quand je sais que j'ai deux maquettes à terminer et à rendre avant quatorze heures, et que je viens de passer la moitié de ma nuit à t'entendre prendre ton pieds et crier comme une chienne. So, lâche moi un peu avec ton air d'insurgé, j'te pries.

RÊVE(S) : C'est le genre de trucs qui faut pas demander à personne. Parce que souvent, ils prennent ce regard vide et mélancolique, ils fixent le vide et commence à te mâché et te remâché des détails de leurs vies que tu connais déjà. « Tu sais, on a toujours eu des soucis de fric dans la famille, quand on était gosses, du coup je veux me rattraper maintenant, vivre ma vie au pacha », etc. Le genre de vie que tout le monde s'idéalise d'avance, avant même d'avoir dix ans. Finalement, les rêves, ça sert juste à rien. C'est pas eux qui vont te ramener du pain pour bouffer le soir, et c'est certainement pas eux qui vont t'aider à faire quoique ce soit de concret dans ta vie. Gagner au loto ? Te trouver une nana bien gaulée ? Bof. Moi, je veux juste faire ce que j'aime, tant que j'aime ça. Après, on fera face à la musique, va.

PEUR(S) : Les meufs, elle ont peur des araignées et des trucs dégueulasses souvent. Les mecs, eux, c'est autre chose. T'as leur ego démesuré qui entre en compte. Parce que, quand t'es un mec et que t'as peur, ben t'as pas de couilles. Ça fait de toi une chochotte. Donc, tu fais comme si de rien était et, surtout, quand tu croises des chevaux, ben t'enfiles ton costume de bogosse viril et texan. Et tu fermes ta gueule. Surtout. Tu passes aucun commentaire, tu fais comme si tout allait. Et tu montes en cow-boy sur le cheval, pour suivre tes collègues de bureau qui ont eu l'EXCELLENTE idée de passer trois jours dans un ranch et de t'inviter à les rejoindre.


votre inventaire.

Paquet de cigarettes
Briquet
Porte-feuille avec photos
Téléphone portable
Un carton de batteries neuves
Canette de coca
iPod
Dinosaure en peluche
Ticket de train aller/retour
Stylo-bille presque mort







que faites-vous ici?

Vous allez devoir répondre à quelques questions qui composeront votre histoire.

Que faisiez-vous le jour où vous avez reçu votre première lettre ? Quelle a été votre réaction ?
J'avais un truc à faire vers Brooklyn. Du coup, j'ai pris le train la veille pour pouvoir arriver pas trop tard dans la nuit et profiter d'une nuit de sommeil plus ou moins... réparatrice. Bilan : dix-huit heures de train, de voiture, de marche pour arriver vers les deux heures du matin, incapable de dormir. Donc bon, Brooklyn quand tu dors la nuit, y'a pas trente-six solutions non plus. Tu sors en boite te prendre quatre ou cinq bières et t'espère pouvoir t'assommer assez pour rentrer chez toi et tomber dans le coma quelque heures. Juste pour dire que t'as dormi quoi. La lettre est arrivée le lendemain matin, au motel. Le pire c'est que personne savais que j'étais là. Je veux dire, j'étais là pour le boulot ouais, mais c'est pas comme si j'avais crié à tout le monde « bon les gars, je vais dans tel hôtel, avec telle compagnie de train et après j'irai me saouler la gueule dans tel bar ». Donc, je sais pas. Surpris je crois, pour le coup de la lettre. D'autant que bon, j'allais être en retard si je me bougeais pas le cul. Je l'ai juste fichu dans ma poche sans vraiment faire attention, puis basta. Y'avait pas grand chose à faire d'autre de toute façon et j'allais pas passer ma journée à psychoter comme un con sur ce qui était peut-être juste une connerie de prospectus Johévah pour entendre parler en live de « la réponse », tout ça. Je suis pas très croyant, dans le genre. Et j'ai pas trop de temps à perdre.

Pourquoi être allé jusqu'à la barque Aer n°186 ?
Pour le boulot, je faisais Brooklyn et Greenport. J'avais bouclé la chambre pour quatre jours et je comptais passer par New York ce week-end pour passer voir le petit pour son anniversaire. Quatre ans, ça se fête avec une peluche en dinosaure, dans le genre qui dit « je sais pas trop quoi t'offrir d'autre parce que ta salope de mère refuse de te laisser venir me voir de temps en temps, mais je t'aime quand même mon grand ». Un t-rex rouge que je balade dans mes poches depuis que je l'ai acheté, y'a peut-être deux semaines et que, je sais pas, je continue de traîner sur moi. Une espèce de relique sacrée à laquelle je voue un culte secret. Sur la deuxième lettre, y'avait pas d'heure. Je l'ai trouvée glissée sous la porte de la chambre. Je sais pas pourquoi je pense à tout ça, mais j'étais au téléphone avec l'autre salope pour savoir comment, où et quand j'allais pouvoir voir Lou. Parce que bon, évidemment qu'elle allait pas m'inviter à prendre le café chez elle, avec son riche enculé de copain pour qui elle m'avait plaqué. Et puis, de toute façon, déjà qu'elle et moi dans la même pièce, c'est pas évident. Si en plus on se paie une tranche de gâteau durant l'anniversaire, tous les trois en triangle, y'aurait sûrement mort d'homme. Elle et lui. Tellement... tsss. 'fin, on a réglé que je devais le prendre chez elle pour l'emmener souper en ville et j'ai eu droit de lui parler au téléphone, au petit bout de chou. Quatre ans, ça fait beaucoup et pas beaucoup, quand on y pense. Et c'est surtout l'âge où on commence à se poser beaucoup de questions. J'entendais sa mère derrière lui dire d'être bref parce qu'elle devait passer un coup de fil à sa sœur (une excuse débile, mais bon). Et puis, j'ai entendu mon petit Lou me demander pourquoi il avait deux papa. Et je l'ai entendu dire que les autres enfants avaient qu'un papa. Et. Je l'ai entendu me demander lequel de ses deux papas était le vrai.

Biologiquement, c'était moi. Physiquement, mécaniquement, génétiquement, c'était moi. Mais socialement, légalement, c'était l'autre con de chimiste, avec ses lunettes design, son eau de Cologne amère et ses cheveux ridiculement parfaits. Moi, j'étais juste le géniteur, finalement.

Sa mère a fini par reprendre le combiné en concluant d'un « ne sois pas en retard » sec et hautain. Puis c'est tout. La lettre était sur la table. À côté du dinosaure en peluche rouge. Je sais pas trop ce qui s'est passé dans ma tête, mais. Je suis juste parti. J'ai pris le train pour Greenport, j'ai fais ce que j'avais à faire dans la journée et j'ai rejoins le quai, en ne pensant à rien. Je sais pas trop ce qui pouvait m'y attendre, franchement. J'avais envie de faire n'importe quoi. Et, forcément, quand on fait n'importe quoi sans réfléchir, on fini souvent (pour ne pas dire toujours) par le regretter.

Quant à votre passé, y'a-t-il quelque chose que nous devrions savoir ?
Y paraît que les vies banales n'intéressent personne, du coup je parle jamais de la mienne. Une enfance normale dans une famille normale. Des écorchures sur les genoux, des salamandres et des lézards ramenés à la maison et conservés dans des plats en plastique, des ballons de football crevés, des bicyclettes pour mon anniversaire et des télescopes pour noël. Une vie simple, une famille simple, des plaisirs simples. Comme tous les petits garçons, j'étais casse-cou et je sortais jouer dehors le plus tard possible. J'aidais mon père avec le ranch et je mettais la table pour aider ma mère. C'est pas mal tout ce qu'il y a eu d'intéressant dans ma vie, même si, soyons francs, il n'y a strictement rien d'intéressant, finalement. Par contre, c'est fou la claque qu'on se prend quand on devient adultes et qu'on commence à comprendre ce que veut vraiment dire « être responsable ».

Pour la fac, direction Houston. Une université tout ce qu'il y a de plus banal, des études tout ce qu'il y a de plus banales. Juste la fille, en fait, qui n'a rien de banale. Un petit bout de femme, une belle brune extravagante, courte sur pattes, avec un déhanché maladroit mais séduisant, avec des hanches et des cuisses à n'en plus finir et ce petit visage rond au sourire franc et au rire terriblement contagieux. Le coup de foudre ? Je sais pas trop, on est con quand on est jeunes, et l'amour c'est quelque chose de trop compliqué à expliquer quand on débarque dans la vingtaine avec tous nos hormones de petits garçons curieux et obsédés. Ce qui était certain, c'est que je me tapais la première de classe que tout le monde détestait. Je crois que j'aurais facilement pu tirer mon coup avec une de ces blondes écervelées qui me tournaient autour, je sais pas trop. J'avais pas spécialement besoin ni envie d'une maigrichonne stupide et farouche, j'avais juste envie d'elle, dans toute sa simplicité, dans toute sa témérité. L'inviter en secret dans ma chambre, la sentir s'endormir tout contre moi et me réveiller le matin avec la tête complètement fusionnée dans ses cheveux longs et bouclés.

Quand on est jeunes, on est con. Et je m'imaginais déjà aller vivre à New York avec elle, après nos études. Elle serait psychiatre et moi je bosserais dans le design. Peut-être comme dessinateur de BD, un truc pas trop compliqué. Juste la vie simple, au jour le jour. Faut dire que dans le temps, j'étais du genre à prévoir mon futur comme dans les séries télé, avec la belle maison, les enfants, la voiture, les amis, le travail. Mais bon, finalement, dans toutes ces fantaisies débiles, y'avait qu'un seul truc qui clochait : moi.

De son côté, elle n'avait pas d'attentes particulières et vivait au jour le jour. Pour elle, j'étais un divertissement, un espèce de fantasme ou je sais pas quoi d'autre. De toute façon, le vent a vite changé et je me suis retrouvé largué comme un con, une semaine avant sa graduation. Elle avait déjà planifié toute sa vie à New York, elle allait commencer sa vraie médecine là-bas, sans moi, et finalement se spécialiser dans quelques années. Sans moi.

Et puis, elle est partie retrouver sa famille, là-bas. Et moi je suis resté pour terminé mes études en conception graphique. Je me souviens pas trop comment j'ai réagit sur le coup, parce que j'étais moi-même en fin de session, qu'il me restait une année avant de finir. Juste qu'à un moment, j'ai reçu un appel. Genre deux mois après ? Elle était enceinte et tout le bordel. Elle voulait pas me revoir, elle voulait rien. Je sais pas.

Les gens sont cons des fois. Je sais plus trop comment j'ai réagit non plus sur ce coup de téléphone. Je me souviens juste lui avoir dit que je voulais être le père, que je voulais qu'elle le garde, que j'avais des droits. C'était peut-être pas la vie idéale que je m'étais fixée, mais je sais pas. Je sais pas. On reste con même quand on est adultes finalement, si c'est pas plus. Je m'attendais pas spécialement à être père du jour au lendemain, comme ça à vingt-cinq ans. Mais je sais pas. C'est quelque chose qui fait bizarre sur le coup. C'est peut-être l'instinct paternel, ou je sais pas trop quoi d'autre (j'étais nul en anthropologie). J'ai juste paniqué et laissé tout débouler sans faire attention. Tout c'est passé trop vite.

J'ai fini mes études, je me suis installé pour de bon à Houston et puis c'est tout, quoi. Y'a rien eu d'autre. Y'a eu le gosse, Lou, l'autre s'est trouvé un nouveau mec avec qui elle bossait à l'hôpital. Et puis c'est tout.

Connaissez-vous votre don ? Si oui, comment s'est déroulé votre première utilisation + comment le maîtrisez-vous ?
Y'a un truc drôle avec les humains. Quand ils te voient pour la première fois et qu'ils se mettent à hurler et à courir comme des poules pas de tête, ben tu peux plus ou moins comprendre qu'y'a un truc qui cloche. Parce que bon, quand t'es juste laid, les gens te dévisagent ou parlent de toi en mal dans ton dos. Par contre, quand t'es plus qu'hideux, quand t'es monstrueux et que t'as une tête de mort d'un coup sans comprendre pourquoi, ben t'as le droit aux cris de malades. Et c'est encore plus drôle quand tu comprends pas ce qui se passe, quand tu sais pas où tu es, quand t'as un peu la tête dans les vapes et quand t'es largué comme un con sur une plage. Ce qui est encore plus drôle, je crois, c'est quand tu fais signer du nez toute personne qui s'approche trop près de toi, sans non plus comprendre ce qui se passe.

J'aimerais vraiment dire « je sais pas trop ce qui se passe » pour jouer le mec juste un peu perdu, intelligent et tout. Genre le héros d'un film, qui sait toujours quoi faire même quand il sait pas. Mais en fait, non. Je comprends strictement rien. Mais, complètement hein. J'ai franchement l'impression d'être en plein trip d'acide.
Les couleurs sont trop vives. Les odeurs sont trop fortes. J'ai l'impression de transpirer comme un ours. J'ai l'impression que le temps n'existe plus. J'ai l'impression de voir des trucs qui n'existent pas. J'ai l'impression d'être paranoïaque. C'est un truc de dingue. De dingue.

Que pensez-vous de l'île ? Quel est votre état d'esprit à l'heure actuelle ? Que craignez-vous ?
J'ai l'impression de tourner en rond. Je fais que penser à mon ex, à Lou qui doit pas comprendre pourquoi je suis pas venu le chercher pour son anniversaire. Putain. J'ai constamment mal à la tête, un truc de malade. Enfin, si j'ai une tête, encore. Parce que franchement... Je me sens pas trop bien. Et y'a des gens partout en plus qui ont tous l'air aussi perdu que moi. Qui comprennent rien. Qui peuvent faire des trucs trop fou.

Genre, j'ai vu une fille prendre feu en live devant moi. Dans le genre incendie, combustion spontanée. Et moi, tu sais, je suis trop con, je me mets à courir vers elle comme un perdu histoire de jouer les pompier ou je sais pas. Franchement, je sais même pas pourquoi je cours vers elle comme ça. Je sais juste qu'elle crie pas, qu'elle cours pas dans tous les sens et que finalement, c'est juste en me voyant approcher qu'elle panique. Et puis, je sais pas. Y se passe rien de spécial, hein. Les flammes se barrent. Elle me regarde. Elle est mignonne en plus, quoi. Limite, j'aurais peut-être essayé de lui poser des questions, de lui demander son nom, d'où elle vient, si elle sait ce qui se passe ici. Seulement, pour casser l'espèce de calme qui règne, elle se retourne d'un seul coup pour vomir en retenant ses cheveux roux. Dans le genre première rencontre, côté élégance et glamour, j'ai déjà vu mieux.

Et, je sais pas. J'ai l'impression que ça vient de moi. J'ai l'impression de rendre les gens malades. Mais, putain, je comprends tellement que dalle.

pseudonyme hors-rp: secret, mais je suis un cactus.
ton âge? 20 épines.
mâle ou femelle ? cactus.
ton avatar, c'est qui ? SkullRed - Fezat1
t'as lu le règlement? NON. o/
tu as trouvé notre petit code? ♥ CODE VALIDE. (hihi, c'est bien d'aimer les pandas. *patpat*)
t'en penses quoi du fo'? ça m'a l'air chouette pour l'instant... et pis je peux avoir des pouvoirs, cro bien.
au fait, t'es arrivé comment jusqu'ici? top site, mais surtout parce que cette nuit je me suis rematé l'intégralité des x-men/wolverine et que, ben... ça donne des idées.



Dernière édition par Jezus B. Peszek le Lun 18 Nov - 16:14, édité 14 fois
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Emily Tracy

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MessageSujet: Re: SkullHead - Jezus B. Peszek - finish   SkullHead - Jezus B. Peszek - finish Icon_minitimeMer 13 Nov - 16:28

Bienvenue monsieur "tête de mort" \o
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Kera Waywarddawn

Kera Waywarddawn

MessageSujet: Re: SkullHead - Jezus B. Peszek - finish   SkullHead - Jezus B. Peszek - finish Icon_minitimeMer 13 Nov - 19:16

Bienvenue sur Phenomenon ! J'aime bien ton pouvoir *-* Bien que je resterai loiiiiiin de toi ! lol
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Jezus B. Peszek

Jezus B. Peszek

MessageSujet: Re: SkullHead - Jezus B. Peszek - finish   SkullHead - Jezus B. Peszek - finish Icon_minitimeJeu 14 Nov - 11:33

Roh, mais genre. o/
Je suis câlin et super gentil... *humhum*

Merci pour l'accueil. :B
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▬ DON : Spiritualiste ▬ Permet d'invoquer un esprit élémentaire et éventuellement, de réussir à le maîtriser. Si celui-ci accepte de vous écouter sans détruire vos alliés au passage, bien évidemment.
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Gaïa Euphemia

Gaïa Euphemia

MessageSujet: Re: SkullHead - Jezus B. Peszek - finish   SkullHead - Jezus B. Peszek - finish Icon_minitimeJeu 14 Nov - 15:19

Personnage intéressant et original. J'aime beaucoup, bien que tu n'aies pas fini. Bienvenue parmi nous sinon, en espérant que tu t'y plaises !
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Lou Evans

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MessageSujet: Re: SkullHead - Jezus B. Peszek - finish   SkullHead - Jezus B. Peszek - finish Icon_minitimeJeu 14 Nov - 17:45

Bienvenue !
J'aime beaucoup ton personnage ! (Je sais pa trop originale la fille mais c'est la vie.) j'aimerai un lien ensuite si possible **

Bon courage pour la continuation de ta fiche ! :3
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Jezus B. Peszek

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MessageSujet: Re: SkullHead - Jezus B. Peszek - finish   SkullHead - Jezus B. Peszek - finish Icon_minitimeLun 18 Nov - 13:03

Voilà pour ma fiche, normalement elle est terminée, même si j'avoue avoir un peu zappé le final (du mal à me concentrer ces jours-ci). J'espère que ce sera tout bon. o/

Et merci pour l'accueil. :B
(pour le lien faudra en discuter, mais tu t'appelles "Lou", donc ça devrait être pas trop difficile, mouahah)
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Hayden A. Wylde

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MessageSujet: Re: SkullHead - Jezus B. Peszek - finish   SkullHead - Jezus B. Peszek - finish Icon_minitimeMer 20 Nov - 12:04


welcome, welcome.
Nous espérons que tu feras honneur à ton groupe, les Aer.


Tu es bien arrivé à destination, Jezus B. Peszek.
Nous te souhaitons un agréable séjour à Ériel, en espérant, bien entendu, que tu survives.

Tu trouveras dans ton sac cette belle amulette qui te servira, dans quelque temps.
Pour te remercier d'avoir suivi nos indications, nous t'offrons généreusement un Ataume.

Malheureusement, à ton arrivée, tu as subi quelques... "Modifications."
Tu as la capacité de marcher sur l'eau.

le temps joue en ta défaveur, désormais.


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